Actualités

Voici mes dernières actualités :

Projets en cours

  • Romance en Bulgarie : 1er jet avec 34k mots (Romance)
  • La vengeance du poulpe : correction en cours (Hard SF comique) 41k mots écrits
  • L’amie de Dostoïevski ou A la croisée des mondes: corrections en cours (YA) 50k mots écrits

Bilan de juin 2020

Ces dernières semaines ont été assez mouvementées et avec toutes ces histoires sanitaires, mes liens sociaux avec l’écriture se ont été drastiquement réduits. J’ai donc principalement utilisé ce mois pour avancer sur ma romance en cours.

Romans

Romance en Bulgarie: 21897 mots avec 2145 mots écrits ce mois-ci. Le roman avance à petit pas et j’espère le booster avec le camp Nanowrimo le mois prochain, un défi d’écriture entre amateurs.

Ce mois-ci, j’ai écrit 7 jours sur 31, ce qui, tout en restant peu, est agréable pour pouvoir me remettre à l’écriture en toute douceur. Je vais continuer à avancer sur ce roman et attendre de l’avoir terminé avant de me mettre aux corrections de A la croisée des plumes ou de La vengeance du poulpe avant de revoir quelques sites d’appels à textes que j’ai complètement délaissé ces derniers temps.

Bilan de mai 2020

Quelques mots sur ma romance et deux alpha-lecture sur le deuxième tome d’une trilogie et une romance avec une autrice que j’apprécie tout particulièrement.

Romans

Romance en Bulgarie: 19 752 mots avec 2579 mots écrits ce mois-ci. L’héroïne est enfin arrivée en Bulgarie après beaucoup d’aventures et pourra profiter de son arrivée pour faire des visites de musées.

Autres

J’ai pu lire en avant première le deuxième tome d’une trilogie (ainsi qu’un bout du troisième tome) sur des enfants dotés de superpouvoirs et pourchassés par une bande de méchants. La deuxième alpha-lecture portait sur une romance dans un milieu de riches. J’espère que cela aboutira à une publication que je n’hésiterais pas à mettre en valeur ici !

Bilan de avril 2020

Retour au travail de mon côté dans une ambiance pesante. J’ai pu tout de même avancer sur ma romance.

Romans

Romance en Bulgarie: Le manuscrit a atteint 17 173 mots avec 1901 mots écrits ce mois-ci et mon héroïne se trouve à l’aéroport en train de voler pour la Bulgarie où de nombreuses aventures l’attendent.

Autres/Social

Avec le confinement, je n’ai pu avoir qu’un seul atelier en ligne avec Anim’autrice que vous pouvez suivre sur Facebook. Cela m’a permis d’écrire 400 mots sur des petits textes. N’hésitez pas à la contacter si cela vous intéresse, c’est une toute nouvelle entreprise qui démarre !

Bilan de mars 2020

Alors que le mois s’est fini de manière assez inhabituelle, j’ai pu grandement avancer sur ma romance en Bulgarie pour une fois.

Romans

Romance en Bulgarie: Le manuscrit a atteint 15 272 mots avec 5 789 mots écrits ce mois-ci et donc une belle avancée dans l’histoire même si l’héroïne n’est toujours pas en route pour la Bulgarie.

Autres/Social

Dernier atelier avec Agnès Marot quelques jours avant le confinement qui nous a permis de discuter l’importance d’écrire un récit linéaire ou déstructuré. J’ai reçu ma première alpha-lecture sur mon roman YA A la croisée des plumes avec des réaménagements importants à prévoir mais je me suis complètement focalisée sur mon roman en cours pour le moment.

Bilan de février 2020

Ce mois-ci a été principalement dominé par la correction de A la croisée des plumes pour lequel la première relecture a été finalisée.

Romans

A la croisée des plumes: relecture terminée et roman envoyée à trois lecteurs potentiels

Autres/Social

Au niveau bêta-lecture, j’ai lu un début de roman (les dix premières pages) ainsi qu’un roman entier d’urban fantasy et les deux auteurs ont obtenu un avis rédigé de type alpha-lecture.

J’ai fini deux tomes et rédigé des avis dans le cadre du comité de lecture de Plumes de Marmottes. J’ai assisté à mon atelier bi-hebdomaire avec Agnès Marot et on a pu travailler sur les pitchs et comment réfléchir à nos intentions d’auteurs avant de rédiger le roman.

Rencontre avec Samantha Bailly

Grâce à l’association Tremplins de l’imaginaire, j’ai pu assister à une rencontre mi-janvier avec Samantha Bailly en compagnie d’autres auteurs. J’ai pris quelques notes que je vais retranscrire dans cet article. Vous pouvez également regarder ce lien pour voir un autre compte-rendu de la même rencontre. Attention, cet article est très très long donc n’hésitez pas à prendre votre temps pour le lire.

Auteurs : quels sont vos droits ?

Le droit d’auteur

Le rapport Bruno Racine récemment publié a permis de constater que la majorité des contrats d’édition des grands groupes sont illégaux. Cela a permis de remettre à plat ce que signifie un auteur et quels sont les droits des auteurs.
Tout d’abord, qu’est-ce qu’un auteur selon la loi ? En réalité, la loi et les codes légaux ne s’intéressent pas à exprimer ce qu’est un auteur. C’est l’œuvre commerciale publiée qui fait l’auteur. Il s’agit en réalité d’un droit de propriété sur une œuvre et il n’y a pas de démarches particulières à établir.
« L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. »
Cela implique des droits moraux et des droits patrimoniaux. Les droits moraux signifient que l’auteur seul a la paternité de son œuvre. Il a droit au respect de l’intégrité de cette œuvre. En France, le droit moral est perpétuel, inaliénable et imprescriptible. Cela permet à l’auteur de dire non à des modifications ou de l’enlever du marché par exemple.
Les droits patrimoniaux recouvrent le droit exclusif d’exploiter son œuvre en quelque forme que ce soit et d’en tirer un profit pécuniaire. L’auteur peut donc céder des droits de reproduction et d’adaptation à des tiers. En Europe, au décès de l’auteur, ce droit patrimonial persiste au bénéfice des ayants droit pendant 70 ans. L’œuvre entre ensuite dans le domaine public.
Le contrat d’édition permet de transférer les droits patrimoniaux à une entreprise.
Quand les maisons d’édition sont des ayants droit, si elles réimpriment des œuvres, les droits sont prolongés et réactivés ce qui constitue le summum de l’appropriation des droits. C’est particulièrement un problème pour les BDs qui deviennent des licences et ne tombent plus dans le domaine public.
En ce qui concerne la couverture par exemple, il s’agit d’un sujet à la frontière entre l’œuvre et l’objet commercial et l’éditeur impose souvent les couvertures.
Le droit d’auteur est un privilège qui vient de la Révolution française : il s’agit d’un droit de propriété personnaliste et royaliste qui devait stimuler les créations et récompenser les auteurs.

Le contrat d’édition

Les droits qui peuvent être cédés dans le cadre d’un contrat d’édition sont :
– Droit de reproduction papier
– Droit numérique (qui doit être un contrat différent)
– Droit de traduction
– Droits audiovisuels (cela constitue toujours un contrat séparé)
– Droit de merchandising (pour les ballons et figurines par exemple)
– Droit de représentation
Les droits de représentation ont été activés récemment dans le contexte des lectures publiques où la SELF a essayé d’imposer des frais pour eux pour chaque lecture publique, ce qui n’a pas abouti.
En ce qui concerne les droits de prêts (en bibliothèque, la SGDL s’est battue avec le SNE (Syndicat National de l’Édition) pour obtenir un droit de prêt pour les auteurs et cela a abouti à la formation de la SOFIA, organisation gérée à 50/50 entre éditeurs et auteurs. Actuellement, la SOFIA est entièrement aux crochets des éditeurs. Elle gère le nombre de livres achetés par les médiathèques. Elle date de 2000 mais les auteurs touchent les droits depuis 2014. Les auteurs doivent s’inscrire et envoyer un dossier. La société a changé de statut cette année pour que les éditeurs puissent avoir la gouvernance de la SOFIA.
Selon Samantha Bailly, lors d’un contrat d’édition, il faut céder uniquement les droits français de l’ordre de 20 % en numérique et 15-20 % en papier. Il faut un minimum d’à-valoir. Il faut céder les droits sur une durée contractuelle et non à vie. Si on signe avec une petite maison d’édition, il vaut mieux céder avec un bon pourcentage et raisonner par rapport à l’entreprise en face de soi.
Il est possible de rompre un contrat d’édition en cas de défaut d’exploitation permanente et suivie mais cela est compliqué à prouver, notamment avec l’impression à la demande donc il ne faut pas compter sur cette possibilité.
Dans le droit européen, il est possible de renégocier un contrat en cas de rémunération non équitable. La traduction française actuelle est « en cas de rémunération très défavorable », ce qui n’est pas équivalent et les auteurs français essaient de faire modifier cette traduction actuelle. Dans les faits, la possibilité de renégocier un contrat d’édition en France à l’heure actuelle est quasiment impossible.
La durée de cession souvent utilisée est de 70 ans après la mort de l’auteur. Il faut absolument négocier une durée limitée (5 ou 10 ans) ou se créer des portes de sortie le cas échéant pour pouvoir reprendre ses droits si les ventes ne sont pas au rendez-vous.
Les obligations de l’éditeur impliquent : une obligation d’exploitation permanente et suivie (possible de l’imprimer ce qui, avec l’impression à la demande, n’est plus si contraignant), une reddition de compte annuelle (au moins une fois par an avec une date prévue au contrat ou six mois après l’arrêt des comptes maximum si aucune date n’est mentionnée).
Avec le système des retours en librairie, les éditeurs ne savent pas combien de livres ils doivent rembourser ce qui explique la difficulté de déterminer précisément le chiffre d’affaires. Cependant, le problème de la reddition est que l’auteur n’a aucun moyen de vérifier légalement les chiffres donnés avec aucun tiers de confiance pour vérifier les ventes. Ainsi, de nombreuses sommes importantes peuvent être cédées dans le dos de l’auteur (notamment dans le contexte des traductions par exemple). De plus, la majorité des éditeurs se trompent sur les redditions. D’après une infographie du SDL, 60 % des auteurs doivent réclamer leurs relevés de compte, 52 % n’ont jamais reçu leurs droits à l’étranger, 24 % n’étaient pas au courant d’une traduction prévue de leur œuvre, et 25 % n’étaient pas informés d’une mise au pilon totale de leurs ouvrages.

La rémunération

La rémunération des auteurs s’effectue par plusieurs canaux : les à-valoir et les pourcentages.
L’à-valoir est une avance sur droit concédée par l’éditeur dans certains cas. Cependant, aucun texte légal ne mentionne cette pratique et il n’y a donc aucun encadrement juridique. Les droits d’auteurs sont une rémunération proportionnelle sur les ventes. Aux États-Unis, pays qui rémunère de manière plus importante les auteurs en à-valoir, le montant de ces à-valoir a chuté de 42 % dans les dernières années. Il est important de souligner que le travail créatif n’est jamais rémunéré à aucun moment.
Comment calculer un à-valoir ? Il est important de pouvoir estimer un montant d’à-valoir pour pouvoir le demander à un éditeur lors de la signature du contrat. Il est possible de demander le tirage et de multiplier par la moitié du prix du livre. Il est également important de faire la différence entre une commande de l’éditeur et une proposition de l’auteur. Dans tous les cas, l’auteur doit se demander à quel prix il est capable d’accepter de céder son travail. La grandeur d’une maison d’édition n’est pas forcément équivalente avec les garanties qu’on peut obtenir. En effet, d’après Samantha Bailly, les petites maisons d’édition avec qui elle a travaillé ont pu rémunérer ses déplacements en salons, les restaurants, les à-valoir de mille euros alors que les grandes ne font pas toujours autant d’efforts.
Dans tous les cas, il est primordial de se réserver des portes de sortie notamment avec la durée déterminée du contrat ainsi que les clauses de récupérations des droits (minimum d’exemplaires vendus par exemple). Il faut toujours demander le contrat d’édition sous forme écrite avant de signer et se réserver le temps de le lire et de le comprendre. La SGDL peut donner un conseil mais leur vision du droit des auteurs est peu fiable et la société est financée à 50 % par les éditeurs. La Charte permet également un accompagnement juridique gratuit mais uniquement pour les auteurs jeunesse publiés (avec un tirage à 500 exemplaires minimum).

Bilan de janvier 2020

Romans

Romance en Bulgarie: ce roman avance avec des petits pas, une scène de rupture se rajoute avec 348 mots

A la croisée des plumes: correction de 5 chapitres, on arrive presque à la moitié du roman (j’en suis au chapitre 19 sur 42)

Multimédia

Ce mois a été un mois conséquent pour ma partie multimédia car j’ai décidé de me consacrer à l’apprentissage du logiciel Unity, dans le but de créer des jeux vidéos et de participer à la Global Game Jam 2020. Un objectif réussi puisque j’ai complété les tutoriels Getting started with Unity et Create with code en 38 heures ce qui m’a pris deux semaines en entier. Ceci s’est concrétisé par un jeu que j’ai réalisé en tant que développeuse et qui est visible sur la page ici et que je mettrais dans la section Multimédia prochainement.

Autres/Social

J’ai envoyé une critique de manuscrit pour le comité de lecture de Plumes de Marmotte et j’ai reçu deux nouveaux manuscrits à critiquer.

J’ai pu assister à deux ateliers d’écriture avec Agnès Marot, un premier sur le style qui m’a permis d’avancer sur Romance en Bulgarie et un deuxième sur comment faire une bonne fin où j’ai pu écrire des petites histoires sur des thèmes improvisés sympathiques (1268 mots).

L’association Tremplins de l’imaginaire m’a permis d’assister à une rencontre assez enrichissante avec Samantha Bailly, une autrice réputée qui nous a préparé une conférence sur les droits des auteurs, j’ai déjà pris plein de notes et je ferais un article prochainement.

Bilan de décembre 2019

Romans

La vengeance du poulpe: j’ai envoyé ce roman à un premier lecteur au début du mois et j’attends patiemment son retour pour corriger ce roman.

Romance en Bulgarie: ce roman a récolté deux scènes en plus pendant le mois et 661 mots supplémentaires

Autres/Social

J’ai commencé à apprendre RenPy dans le but de pouvoir réaliser des visual novels et dans l’idée d’adapter une fiction interactive sur Twine en visual novel. J’ai fini un premier tutoriel ce mois-ci. Ceci m’a permis de continuer et d’améliorer un début d’histoire sur Twine que j’espère finir avant de l’adapter sur RenPy. J’ai assisté à un troisième atelier par Agnès Marot ce qui m’a permis d’avancer encore sur la Romance en Bulgarie tout en discutant sur les techniques de descriptions. J’ai fini la synthèse globale pour ma première alpha lecture sur un roman ce qui signifie que j’ai entièrement lu et critiqué le roman d’une collègue écrivaine en espérant que cela lui permettra d’améliorer ce roman.

En ce qui concerne les soumissions, j’ai reçu un refus pour la pièce radiophonique que j’avais envoyé, j’en ai donc profité pour la diffuser sur Soundcloud et le lien est à trouver dans la page Multimédia de mon site.

J’ai relu et envoyé une fiche de lecture pour un manuscrit pour le comité de lecture de Plumes de Marmotte.

Bilan de novembre 2019

Romans

Romance en Bulgarie (1er jet):  5954 mots écrit ce mois-ci ce qui nous ramène à 17% du roman

Autres/Social

En ce qui concerne le comité de lecture Plumes de Marmotte, j’ai fini de lire et de faire des fiches de lecture sur deux manuscrits de romance.

Au niveau de l’alpha lecture d’une collègue autrice, j’ai fini de lire et de commenter les différentes parties du roman. Je lui ai envoyé une synthèse détaillée, il ne me manque plus qu’à envoyer la vision globale.

J’ai également commencé à apprendre PyGames dans l’idée de construire des jeux vidéos narratifs. Après quelques tentatives, j’ai réalisé un petit jeu vidéo qui permet de taper des singes avec le clavier pour gagner. Ce n’est qu’un début évidemment.

Au niveau social, j’ai participé au deuxième atelier d’Agnès Marot sur la structure en 3 actes, ce qui a énormément boosté l’écriture de ma romance en Bulgarie. Je suis allée au salon du livre jeunesse de Montreuil qui m’a permis de revoir quelques camarades écrivains (Paul Beorn, Cerise, Aylin, Laura P., Lilie, Nadia Coste et plein d’autres gens) et je suis super heureuse d’avoir pu me procurer en avant première dans le salon le nouveau roman de Betty Piccioli, Panique à Gémélia.

Ce mois-ci a principalement été consacré à poursuivre la romance en Bulgarie tranquillement.

The complete guide to self control de Scott Young

Avant de prendre peur devant le titre (anglais en plus !) de ce livre que je compte résumer, voici les raisons pour laquelle il a une certaine place dans un blog écriture. En général, malgré tout l’amour qu’on peut porter à cette activité, elle passe souvent après les activités sociales, le travail et plein d’autres choses. Comment introduire une habitude de travail, puisque l’écriture est un travail, malgré les contraintes inévitables de la vie quotidienne ? J’ai trouvé que, dans ce contexte, l’auteur du livre proposait des pistes intéressantes. L’idée est donc de trouver des stratégies pour maintenir des habitudes de vie et par exemple pour écrire et corriger plus régulièrement.

Quelles sont les stratégies qui ne fonctionnent pas ?

  • Ne pas essayer de supprimer ses pensées par exemple en se disant : « ne pense pas à toutes les autres choses que tu pourrais faire au lieu d’écrire »
  • Résister à la tentation : « surtout ne pas regarder cette série super chouette sur ma table car j’ai prévu une heure d’écriture dans ma routine ce soir »
  • Avoir une meilleure maîtrise de soi : « si je savais me contrôler, j’aurais fini ma correction depuis des mois »

Comment se motiver à une tâche difficile mais gagnante sur le long terme ?

  • La motivation doit être principalement intrinsèque : rappelez-vous pourquoi vous écrivez ? Est-ce du plaisir ? Est-ce quelque chose qui vous motive ou que les autres vous imposent ? Une tâche contrainte par les autres sera toujours un effort plus conséquent qu’une tâche qu’on s’impose.
  • Il faut allier la tâche d’écriture avec autre chose qui nous fait plaisir : écrire en buvant du chocolat ou une boisson chaude, dans un café avec un dessert à la fin de la séance par exemple.
  • Parlez-en autour de vous pour que tout le monde vous demande le résultat de la nouvelle séance d’écriture. Ce serait dommage de ne pas l’avoir fait. Et de manière générale, engagez-vous publiquement auprès de vos proches.

De manière générale, si vous avez publié des textes ou si vous écrivez simplement dans votre temps libre, vous êtes écrivain donc commencez dès maintenant à vous considérer comme telle et cela aidera énormément vos séances d’écriture futures. Bien sûr, évitez les distractions à l’endroit où vous voulez écrire comme le DVD d’une nouvelle série ou les futurs livres que vous planifiez de lire.

L’ebook de Scott Young est gratuit et disponible en anglais par exemple sur le site de l’auteur. N’hésitez à y jeter un coup d’œil.